Proust Fiction (Français)

Robert Juan-Cantavella
Récits





Utiliser les références universelles de la culture de masse pour la forcer à dire différemment le monde: prendre et transformer. L'excellente première nouvelle de Proust Fiction ["Proust Fiction"] illustre ce double mouvement de judoka. 
Nils C. Ahl, Le Monde  


Une réécriture des grands textes fondateurs, de Platon à Hunter S. Thompson. 
Olivier Mony, Livres Hebdo  


Caresse à contresens les classiques et ironise sur le fantasme plagiaire.  
Technikart  


Audacieux, irrévérencieux et incroyablement érudit, l'auteur se permet tout, ou presque. […] Cette démarche combinant rigueur, engagement politique et imagination, permet d'accéder a cette forme de vérité suprême que seule permet la grande littérature. 
Fabrice Lardreau, Transfuge  


Tous les genres “nobles” sont ici déformés, revus et en quelques sorte détruits. Depuis les personnages célèbres de la littérature espagnole au mythe de la Caverne de Platon, en passant par les reportages gonzo de Hunter S. Thompson ou les fables de la Fontaine, chacun de ces récits donne à voir l’envers du décor du genre en lui appliquant un regard totalement neuf. […] Des histoires décalées, drôles et cruelles où Juan-Cantavella métamorphose l’écrivain et le livre sans renoncer au suspense et à l’humour. 
Patrick Beaumont, La Gazette Nord-Pas de Calais  


FRANCE CULTURE: Le Carnet d'or (radio)
Robert-Juan Cantavella, Frédéric Beigbeder et Arnaud Cathrine seront les invités d'Augustin Trapenard.
15.10.2011 - 17:00

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Totalement décomplexé, afterpop en diable, l’œuvre de Juan-Cantavella signe la mort de la fiction telle qu’on l’envisageait depuis toujours. Audacieux, ce jeune espagnole de 36 ans, écrivain et traducteur (on lui doit les œuvre de Mathias Enard en espagnol), déjà auteur de trois romans non encore traduits en France, ose là où même les pontes de la littérature post-moderne US et ses monstres (Robert Coover, William Gaddis, Donald Barthelme, John Barth, William Gass) n’ont jamais essayé de s’aventurer.
Maxence Grugier, Daily ELLE, "Les nouveaux visages de la littérature en langue espagnole" (24/04/12)
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Proust Fiction, c’est le débarquement en France de Karagol, alter-ego dur-à-cuire de Robert Juan-Cantavella, écrivain qui force la collision frontale des bas-fonds de la littérature espagnole avec le post-modernisme le plus canaille des Etats-Unis. En une poignée de nouvelles foutrement culottées, Juan-Cantavella essaie de nous faire croire qu’il est le puto amo et que même devant lui Cervantès s’incline ; que Proust n’a rien inventé ; que Borges lui doit tout. On a envie de dire que ça passe ou ça casse, mais en vérité, quand ça passe, ça casse aussi. Proust Fiction(s) d’un punk journalist.
 
Fric-frac club: Bibliothèque Fric-Frac 2011: cinquième position (28/12/11)
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"Le retour du prolo", par François Monti (17/10/11)

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